lundi 3 septembre 2012

Another Epoch

Cher toi, l'heure est grave. Oui car je vais te parler là de ma dernière frayeur ongulaire et ouhlala comme j'ai eu peur, apprête toi à frémir de concert. (de concert avec moi, j'entends, car je frémis encore).
Non, je n'en fais pas du tout deux tonnes, je t'explique, tu vas comprendre :

Tu as surement croisé, au détour de la blogosphère (ou au détour de ta salle de bain), ce merveilleux vernis : j'ai nommé le Epoch de la marque Cirque. De mon côté, j'ai craqué sur ce flacon qui me promettais un bleu vibrant et pailleté et je l'ai mis dans mon panier en même temps que son frère le Never Nude (que je t'ai déjà montré et que j'aime d'amour fou).
J'aime bien tomber amoureuse de vernis dont la formulation est bien gentille, ça me permet de déculpabiliser de toute cette agression chimique que j'impose à mes pauvres petits ongles. Pauvres petits bouts de kératine, maman vous aime quand même.
Hum. Pardon. Là n'est pas le sujet.

Epoch donc. J'y reviens. Je teste donc le vernis, confiante vu mon amour pour son frère. Et là c'est le drame. A la première couche rien. Enfin un vague film noir très très transparent et quasiment aucune paillette. Je sais que j'aurai pu le poser sur une base noire - et je le ferai la prochaine fois - mais j'aime bien tester mes vernis nus. Qu'à cela ne tienne, je m'arme de patience et passe la seconde couche. Là je me dis que je n'en tirerai rien du tout tout seul et ça m'attriste. Quoi, quoi, Epoch serait-il le vernis qui te promet des merveilles et est en fait un imposteur ? (C'est là le moment où tu frémis avec moi).
Soit. Troisième couche. 
Miracle.
C'est beau. Certains ongles ont droit à une quatrième couche parce que le résultat n'était pas le même. Mais enfin, voilà, d'un coup il y a des couleurs et des reflets. Je suis heureuse. Ascenseur émotionnel dans ta face.


Oui je te mets quand même des photos, parce que c'est bien beau tout ce blabla mais on est quand même là pour ça.

Donc me voilà rassurée, la famille Cirque ne me déçois pas. Et la prochaine fois que je sors mon Epoch, je le pose sur du noir.
Bon je suis rassurée mais là je sais pas ce qu'il me prend, je décide de le stamper.
Et je sais pas si tu as suivi les épisodes précédents mais je suis un peu maudite/pas douée du stamping et il y a quelques mois j'ai décidé de ranger mes plaques pour de bon.
Mais là je sais pas, l'euphorie du moment, vas savoir. Toujours est-il que j'ai stampé. Et c'est même pas aussi raté que ça figure-toi.


Certes aucun doigt n'est vraiment réussi. Certes. Mais si tu avais vu mes anciens essais, tu me filerai une médaille en chocolat. Au moins.


Bon tout ça pour dire quoi ? Bah pas grand chose au final hein. Mais si tu veux absolument une conclusion avec morale à la conte de fée ou fable de M. La Fontaine, bah je te dirai que dans la vie faut garder confiance et persévérer. Et aussi qu'il ne faut pas se fier au flacon. Ça fait deux morales pour le prix d'une, je vais penser à faire poète, option époque classique.


Ah, on me fait signe que vu le titre pourri de ce billet, dans ma future carrière il faudra par contre que j'oublie et l'anglais, et l'humour...

6 commentaires:

  1. C'est même très réussi comme petit stamping :)

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  2. Je l'aime d'amour ce Epoch ! et moi je le trouve très bien ton titre ! ;)

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  3. je le veux je le veux je le veux !!!!!!!!!!!

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  4. Quelle belle morale^^
    C'est vrai que ce vernis est très beau!
    bisous!

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  5. Hey merci tout le monde ! Je prévois quelques craquages à venir sur ce vernis visiblement :p

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